si l’avenir s’achète par tranches de 12 minutes

 

 


Je n’ai jamais persisté un associé des discours ésotériques. Mon quotidien, c’est celui d’un entrepreneur bâclé, compréhensible, exigeant avec moi-même et avec d'autres. Les arbitrages doivent se trouver prises vite, les intentions atteints, les chiffres compris. Pourtant, ces derniers mois, j’ai commencé à réaliser une forme d’usure. Trop de pression, beaucoup de bruit, incomparablement d’incertitudes. Et dans cet effet de tension latent, un pont m’a s'étant rencontré envoyé un soir, presque comme par exemple une blague, par un copain d’enfance : “Tu devrais essayer la voyance en ligne, on ne sait jamais. ” Ma première répercussion ? Rire. Ma second ? Cliquer. Simple soif, à coup sur. Et on a là que j’ai mis un pied dans un univers avec lequel j’ignorais tout. Sur l’écran, une interface privée, en direct, entrainant différents exemples de consultations : par audiotel, téléphone, mail, ou même visioconférence. À ma importante surprise, le ton n’était pas religieux ni mystificateur. On me parlait de guidance, d’éclairage, d’intuition, de recentrage d'individualité. Pas de majeure prêtresse ni de cristaux. Une retrouve moderniste, presque reconnue. J’ai indomptable d'expérimenter. Un naturel achat par téléphone, sans position, mais en posant un thème précis souple, concrète : “Est-ce que ce fantaisie que je prépare va aboutir ? ” Ce que j’ai appris en renouveau n’était pas une solution, mais quelques interrogations. Loin d’être vague, l’échange était structuré, presque coachant.

Je fais rayonnement de cette génération de dirigeants qui ont adulte avec le digital. Tout est mesurable, tout est traçable, tout se planifie. En aussi bien que cerise d’entreprise, j’ai forcément accordé une place centrale aux transmises, aux tableaux de barrière, aux indicateurs de performance. C’est ce qu’on nous apprend dans les écoles de échange : prôner, améliorer, rationaliser. Et ça marche… jusqu’à un dans la certitude de rang. Jusqu’au moment où l’humain, l’incertitude, le fatum, l’émotion proviennent se mettre le grain de sable dans la mécanique correctement huilée. C’est dans un de ces moments de flou, il y a un doigt plus d’un an, que j’ai eu recours à la voyance en ligne pour la première fois. Par appétit au départ, et aussi par désespoir, je voyance olivier crois. J’étais en pleine successivement de amalgame avec une nouvelle constitution, un boucle stratégique doigt. Tous les messages semblaient positifs : doux timing, alignement social, synergies appréciables. Pourtant, je ressentais un malaise. Un truc que je n’arrivais pas à présenter. C’est là que j’ai eu ce postulat saugrenue : téléphoner à un voyant.


 

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